en clair : que de bruit pour rien
La c…rie a ses limites que ne connaît point notre “journaliste culturelle” pétrie de professionnalisme et de déontologie. Détentrice de la vérité, elle s’érige en grande prêtresse de l’affaire Seznec. Loin de moi l’idée de lui contester cette place qu’elle revendique haut et fort, ce plusieurs fois par jour de crainte sans doute qu’un intrus vienne subrepticement lui grignoter un bout de fromage. Depuis quelques jours, elle s’est mise en mode “no limit, no control”. Par expérience, je sais qu’il est totalement vain de lui répondre, ce serait comme remettre une pièce dans le bastringue.
En conséquence, en attendant des jours apaisés, je place ce blog en veilleuse et ne publierai donc pas de nouvel article. Et par rapport à cette personne, en ce qui me concerne, je me mets en mode “indifférence”.